anniversaire de
Catherine Renard... l'occasion de papoter une heure de temps... ça vaut bien ça !
une ville,c 'est parfois synonyme de travaux : travaux d'embellisement, mais aussi de première nécessité pour une rupture de canalisation d'eau apr exemple comme en ce moment au bas de mon immeuble... places des Halles et Champollion fermées : passage pour piétons encadrées apr des barrières, des petits "ponts" qui évoluent en fonction de l'avancement des travaux d'heures en heures... les machines varient aussi d 'un jour sur l'autre...
l'affiche du projet de la place Champollion
évolue aussi la place de la terrasse du café de Claudie... qui est enfermé ?
Dee Dee Bridgewater : fantastique !
« Depuis quelques années je ressens au plus profond de moi le besoin de trouver mes racines Africaines. Sans trace dans mon pays des Etats-Unis, je suis retournée vers la musique africaine, en espérant qu’en écoutant les différentes musiques des pays de l’Afrique Noire, l’un d’eux me parle avec une force spirituelle inéluctable. C’était le Mali. » Dee Dee Bridgewater.
A malian journey : tel était le titre du concert... elle est allée au Mali à l'écoute de ses origines :
"When I touched the red earth of Bamako, when I inhaled the Malian air, when I heard the tambours, and listened to the griots, I felt my spirit begin to dance."
résultat : fusion naturelle entre la musique malienne et le jazz, fusion très intime...
un regret : celui d'avoir dû rester assise sur une chaise presque jusqu'à la fin
8 musiciens à qui elle laisse de la place et deux chanteurs , la superbe mailienne Fatou Diawara qui chantait dans la comédie musicale "Kirikou" et Mamani Keita géant par sa voix et son physique...
divers instruments traditionnels, y compris kora sous les mains du grand maître : le Malien Cherif Soumano, balafon (marimba) , n'goni (luth), flûte Peul, tamani et doum-doum (basse et aigu parlons-batterie), le djembé, la shakere (gourde hochet) et de calebasse (tambour calebasse), frappés par des Sénégalais, Maliens... et un piano superbement joué par le Portoricain Edsel Lopez et une guitare basse jouée par un Americain : Ira Coleman
orchestre inter continental...
bravo Dee Dee... sans compter qu'elle parle si bien le français !
un mot : DJARIBI = je vous aime en mandingue
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