dimanche 25 janvier

surprise au lever... pas très matinal, j'avoue, mais on a vu pire ou ... mieux, c 'est selon : il est 9 h, grand ciel bleu et soleil qui ose entrer un peu dans ma pièce à vivre... c'est la première fois... la course du soleil, ce qu'il y a de fascinant, c'est la vitesse à laquelle elle se fait... mais faut pas rêver dans une ruelle très étroite avec des maisons plus hautes, il ne peut faire qu'une apparition...

Ce qui est magique, c'est qu'après la tempête, la pluie d'hier, le soleil soit là sans crier garde... et je l'approuve... pour un peu, je trouverai cela normal...
Sur la partie ensoleillée du toit d'un immeuble en face, un rassemblement d'oiseaux se sèchent au soleil...

Il y a si longtemps que je ne suis pas venue sur mon blog que je vais essayer de combler mon retard... pour l'heure, en buvant un thé auSahara de la maison Mariage... cadeau de mon fils Phil... délice du matin subtil mélange de thé vert, de pétales de rose et de feuilles de menthe...

Beau choix de thé pour un tire de film de Bernardo Bertolucci... une belle histoire d'amour



En 1947 un jeune couple d'Americains, Port Moresby et Kit, partent pour l'Afrique à la recherche de leur amour que la civilisation d'après-guerre perturbe. Pour Bertolucci le livre de Bowles "raconte une belle histoire d'amour, une histoire d'amour banale entre deux personnes très compliquées qui s'adorent mais ne peuvent pas trouver le bonheur ensemble".

J'avais prévu de passer la journée à travailler sur mon blog et j'ai commencé à le faire jusqu'à ce que je descende chercher du pain ; j'en ai profité pour faire un tour au bord du Célé, qui décroît.
En passant près de chez Marieke, je me suis arrêtée pour lui dire bonjour : j'aime sa pièce principale : grand soleyo ouvert sur 3 côtés au-dessus des toits et vue sur les collines...
Elle a ouvert une bouteille de Faugère médaillée à Mâcon : plutôt sympa et de fil en aiguille, nous avons déjeuné ensemble, puis fait une grande balade dans Figeac, l'une apportant son regard et sa connaissance à l'autre et vice versa... et c'est comme ça que nous sommes rentrées à 18 h ! et la journée est passée... pas comme je l'avais prévu, mais c'est bon l'amitié !

mercredi 7 janvier

Quand on est mère, il faut parfois aider nos "petits" à faire des recherches, quand ils sont débordés... et c'est vrai de Géraldine...
alors j'ai recherché tout ce que je voyais d'intéressant sur la coiffure au XVIII° et en 1910, ansi que sur Paul Poiret et sa célèbre fête 1002ème nuit...

Qu'est-ce que les femmes du XVIII° étaient coincés dans leurs vêtements et leur coiffure !

Puis est arrivé Paul Poiret qui a été subjugué par un spectacle dansé par les Ballets russes : Shérazade... c'est suffisant pour faire rêver le Paul, qui semble découvrir qu'il y a plus de plaisir à voir les femmes dans des tenues qui mettent en valeur leur corps et exit le corset...

...

et voilà les petite Parisiennes libres de leurs mouvements, qui peuvent aller faire du sport, du vélocipède...

Quant à la 1002ème nuit, c'est une véritable débauche à la veille de la Première Guerre Mondiale et alors que le peuple a du mal à vivre...

Il y a du monde - et du plus beau - en cette nuit du 24 juin 1911 dans le jardin de son hôtel particulier de l’avenue d’Antin : les peintres Van Dongen et Dunoyer de Segonzac, le directeur de magazines de mode Lucien Vogel, le dandy et homme de lettres Boni de Castellane... Des orchestres persans se font entendre dans les bosquets, des perroquets colorent les arbres, tapis et coussins couvrent le sol, tandis que des conteurs et des acrobates transportent les invités dans un autre monde. Bientôt, le sultan Paul Poiret fait évader sa favorite - Denise Poiret, son épouse - de sa cage dorée... L’orientalisme n’est-il pas à son apogée ? (Claire Papon)

jeudi 1er janvier 2009

Premier jour de l'année et j'attends Sophie et Francis, mes premiers vacanciers pour un "petit" week-end ; le soleil a décidé de s'inviter et c'est agréable d'aller faire un tour sur le Causse... et les jours passent vite

à inscrire donc dans mes "premiers"... à propos de premier, de 1er, du 1

Il y a peu de temps (à mon âge, il est grand temps !)

je me suis demandé pourquoi '' 1 '' signifie '' un '', '' 2 '' signifie ''deux '' etc ...

Les chiffres romains sont faciles à comprendre

mais ....où est la logique avec les chiffres Phéniciens ?

C'est une histoire d'angles et c'est d'une pure logique…

si on écrit le chiffre dans sa forme primitive , on voit que :

Le chiffre 1 ne possède qu'un angle

Le chiffre 2 possède deux angles

Le chiffre 3 possède trois angles…

Et ....le chiffre 0 ne possède aucun angle

Démonstration en image :

C'est comme ça que, le soir, je m'endors un tout petit peu moins bête...