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2009-01-07

mercredi 7 janvier






Quand on est mère, il faut parfois aider nos "petits" à faire des recherches, quand ils sont débordés... et c'est vrai de Géraldine...
alors j'ai recherché tout ce que je voyais d'intéressant sur la coiffure au XVIII° et en 1910, ansi que sur Paul Poiret et sa célèbre fête 1002ème nuit...

Qu'est-ce que les femmes du XVIII° étaient coincés dans leurs vêtements et leur coiffure !



Puis est arrivé Paul Poiret qui a été subjugué par un spectacle dansé par les Ballets russes : Shérazade... c'est suffisant pour faire rêver le Paul, qui semble découvrir qu'il y a plus de plaisir à voir les femmes dans des tenues qui mettent en valeur leur corps et exit le corset...


...

et voilà les petite Parisiennes libres de leurs mouvements, qui peuvent aller faire du sport, du vélocipède...

Quant à la 1002ème nuit, c'est une véritable débauche à la veille de la Première Guerre Mondiale et alors que le peuple a du mal à vivre...

Il y a du monde - et du plus beau - en cette nuit du 24 juin 1911 dans le jardin de son hôtel particulier de l’avenue d’Antin : les peintres Van Dongen et Dunoyer de Segonzac, le directeur de magazines de mode Lucien Vogel, le dandy et homme de lettres Boni de Castellane... Des orchestres persans se font entendre dans les bosquets, des perroquets colorent les arbres, tapis et coussins couvrent le sol, tandis que des conteurs et des acrobates transportent les invités dans un autre monde. Bientôt, le sultan Paul Poiret fait évader sa favorite - Denise Poiret, son épouse - de sa cage dorée... L’orientalisme n’est-il pas à son apogée ? (Claire Papon)


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