J'ai beaucoup aimé, ri, apprécié cette comédie burlesque française de Bruno Podalydès.
Synopsis :
Lucie arrive à son bureau et découvre, accrochée sous une fenêtre de l'immeuble d'en face, une banderole noire avec écrit : "HOMME SEUL".Est-ce un gag, un cri du coeur, un appel au secours ? voir la suite sur Allociné
Lucie arrive à son bureau et découvre, accrochée sous une fenêtre de l'immeuble d'en face, une banderole noire avec écrit : "HOMME SEUL".Est-ce un gag, un cri du coeur, un appel au secours ? voir la suite sur Allociné
Trois comptables, des poissons rouges, quatre vendeurs dans les nuages, deux petits bateaux, dix avions en papier, des perceuses, une chips, un homme seul et quatre-vingt-six acteurs, exactement. Un inventaire à la Prévert ? Une chanson de Boby Lapointe ? Non, cette dernière
comédie en trois actes de Bruno Podalydès.
Au coeur de sa comédie sur l'inconfort moderne, le cinéaste nous replonge dans l'enfance, où tout, encore, était contrôlable : les secrets, les avions en papier, les bateaux télécommandés et... Docteur Maboul ! Souvenez-vous : à ce jeu d'adresse, il fallait opérer un patient sans faire « bip ». Cette merveilleuse comédie ne dit que cela : essayons de bricoler notre bonheur. Sans faire « bip »... (Télérama)
Il y a du Amélie Poulain avec plein de clins d'oeil, de détails de la vie quotidienne, on s'y reconnait parfois, on rit... j'ai ri...
mais les dessins des bancs que je préféère sont ceux de Peynet....
et puis cette chanson de Brassens, qu'il vous en souvienne :
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
comme est sympathique : ce film !
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