Un peu avant la commémoration de la libération du camp d’Auschwitz,
j’ai entendu cette phrase sur France Inter.
Une ancienne déportée juive disait :
le plus souvent
possible, j’accompagne des jeunes lycéens de toute l’Europe dans l’ancien camp,
pas pour témoigner de la place des femmes dans ce camp ni pour parler du
massacre des Juifs ou d’une autre catégorie. Non, je suis là juste pour que l’on
se souvienne de ceux dont la seule faute était d’être né.